Éditions maison

Le Pavillon ADC a publié les deux livrets suivants:

Ceci est et n’est pas

de Maria Da Silva, parution en juin 2022

Le livret Ceci est et n’est pas de Maria Da Silva est le résultat en mot et en images de l’occupation du Pavillon ADC menée par Marthe Krummenacher, Cyril Yeterian ainsi que 17 danseur-euses et musicien-nes en juin 2021 au Pavillon ADC. À l’écoute des processus à l’œuvre, des essais, des discussions et des debriefings, Maria Da Silva était présente. Elle a observé avec son œil de dramaturge et d’artiste active dans le milieu des arts vivants comment ces artistes ont fait collectif. Son récit suit jour après jour l’évolution de cette occupation. Quelques-uns des titres : Déplier le paysage. D’où naissent les idées ? Est-ce la danse qui suit la musique ?
Afin de garder une trace singulière de ces occupations, d’autres commandes sont passées à des auteur-ices. Celle de Cindy Van Acker est signée Michèle Pralong.

Mis en page par Pablo Lavalley, et imprimé chez Coprint, nous l’avons publié à 150 exemplaires et mis à disposition dans le foyer du théâtre.


Livret de présentation du Pavillon ADC

de Juliette Mancini, parution en septembre 2022


Qu’est-ce que le Pavillon ADC ? Que se passe-t-il derrière ces murs ? Comment représenter la variété de la danse contemporaine ? L’idée de ce livret de présentation est née de diverses interrogations d’habitant-es du quartier, de passant-es curieux-ses. Ayant connaissance du travail graphique de Juliette Mancini, autrice et bédéiste, et de sa manière de représenter les corps, nous lui avons passé commande pour réaliser ce petit objet, disponible gratuitement dans le foyer du théâtre. Inspiré par plusieurs spectacles de la saison 21-22, le livret imagé de Juliette Mancini évoque un univers dansé en bichromie, suivi d’une brève présentation de ce qui se passe dans tous les espaces du théâtre, en journée et en soirée.
Nous avons également mandaté Juliette Mancini pour illustrer le numéro 81 du Journal de l’ADC.
Mis en page par Juliette Mancini, et imprimé chez Coprint à 1’500 exemplaires