ZOO/Thomas Hauert

Efeu

ma 23 — ve 26 mai à 20h
durée 55'
quatuor — dès 14 ans RESERVER OU ACHETER

 

Un quatuor dansant pour approcher le mystère de la pulsion de vie, de l’énergie, du soulèvement. C’est dans le chaud et le velouté que Thomas Hauert trouve ici les motivations d’une écriture chorégraphique musicale, organique.

Concept, direction Thomas Hauert — Recherche et création Fabian Barba, Thomas Hauert, Liz Kinoshita, Sarah Ludi, Federica Porello, Samantha Van Wissen — Interprété par 4 danseur-ses de la compagnie — Lumière Bert Van Dijck — Son Bart Celis — Costume Chevalier-Masson, Sami Tillouche — Fabrication des costumes Isabelle Airaud, Eric Chevalier — Scénographie Chevalier-Masson

Cet accueil est précédé de nombreux workshops du 15 au 19 mai :
Programme complet et horaires des worshops

ouvert à toustes :
Atelier donné par Mat Voorter : être / jouer / danser / jouer avec la physicalité et l’imagination.
Conférence discussion Modernity’s imagination par Fabian Barba

pour danseur-euses professionnel-les :
Workshop, Tools for dance improvisation par Thomas Hauert et les danseurs de ZOO

pour danseur-euses amateur-es :
Dans l’instant (improvisation) par Samantha van Wissen
— Composition par Samantha Van Wissen

présentation pour le  public :
Work in progress des étudiants de la  Manufacture — promo G Bachelor danse

Pour sa nouvelle pièce, Efeu, Thomas Hauert plonge sa compagnie dans les rapports physiques qui lient la vie et la terre. Là où de la matière émerge directement des corps confrontés aux forces extérieures et à l’espace. Efeu, le lierre en allemand : une plante simple, tenace. Le lierre grimpant est aussi symbole d’amitié et de fidélité pour la compagnie Zoo.
La recherche chorégraphique a porté ici sur la capacité d’un corps à se soulever seul contre la gravité, moyennant tensions et relâchements, résistance et abandon. Loin des préoccupations sombres liées à l’actualité de notre temps (on se souvient, en 2020, de If Only, pièce sombre montrée aux Eaux-Vives au sortir du confinement), la compagnie propose une pièce construite comme de la musique, abstraite, et plutôt positive. Sur un tapis blanc qui semble être soulevé par le vent, le quartet s’enlace, s’ébroue, murmure des chœurs polyglottes et s’élance dans ses logiques et ses interactions, au gré d’un paysage sonore qui passe par les entêtantes variations de Polymorphia, de Krzysztof Penderecki. Une sorte d’ode à la vie, à la terre et à son atmosphère fragile

— Blog Penser les arts vivants, 25 mai 2023, par Jeanne Malone
Dans Efeu, la nature est autant dans les corps qu’ hors des corps.
+ lire la suite : Penser les arts vivants
Vertigo , RTS – la 1ère, par Thierry Sartoretti
« Efeu » c’est le lierre en allemand, dernière création du Soleurois Thomas Hauert avec sa compagnie bruxelloise Zoo, présente à Genève, salle de l’ADC jusqu’au 26 mai »
+ écouter le podcast : Vertigo
La Tribune de Genève, 22 mai 2023, par Katia Berger
« «Efeu» s’inspire de la pulsion vitale du lierre, cette plante grimpante symbole d’amitié. »
+ lire la suite : La Tribune de Genève
—Toute la Culture, 13 janvier 2023, par Adam Defalvard
« Thomas Hauert et sa compagnie parviennent avec Efeu à créer un espace où le mouvement est libre, proche de la nature et des éléments, et où les corps entrelacés laissent entrevoir un espace utopique. »
+ lire la suite : Toute la Culture
la terrasse, le 16 décembre 2022, par N. Yokel
« Avec Efeu, tout n’est plus qu’interrelations et redéploiements, langage organique et évolutions fluides, portés par une bande sonore mêlant musique contemporaine, variété italienne, groove, et chants d’oiseaux. »
+ lire la suite : la terrasse
La Libre Belgique, 19 octobre 2022, par Marie Baudet
« Efeu place le monde face aux états du corps, souvent dynamiques, parfois empreints d’une lenteur inquiète, par moments habités de chœurs murmurés, scandés, polyglottes. »
+lire la suite: La Libre Belgique
Le Soir, 18 octobre 2022, par Jean-Marie Wynants
« On est hypnotisé par cette matière humaine qui finit par ressembler à une terre malléable sous la main d’un sculpteur invisible. »
+ lire la suite : Le Soir
La Vanguardia, 19 janvier 2023, par Nuria Cugat Tarridas
« La hiedra es la metáfora de la resiliencia para seguir creciendo, poco a poco y sin dañar la base sobre la que se crece, es decir, la Tierra. Por eso, los movimientos que presentarán sobre el escenario no serán excesivamente energéticos ni agresivos, más bien suaves y colaborativos. »
+ lire la suite : La Vanguardia

Après avoir travaillé comme danseur avec, entre autres, Anne Teresa De Keersmaeker, David Zambrano et Pierre Droulers, Thomas Hauert (né en Suisse) a fondé sa compagnie ZOO à Bruxelles en 1998. Cows in Space, sa première pièce a été immédiatement primée aux Rencontres de Seine-Saint-Denis/Bagnolet. En plus de son travail pour ZOO, Thomas a également créé des œuvres pour d’autres compagnies notamment le Ballet de Zurich, le Toronto Dance Theatre, la Candoco Dance Company et le Ballet de Lorraine. En complément de son travail chorégraphique, Thomas Hauert a développé une méthode d’enseignement reconnue internationalement, basée sur la recherche sur le mouvement menée avec sa compagnie. En 2013, il est nommé responsable académique du nouveau Bachelor en danse contemporaine créé au sein de la Manufacture à Lausanne

Une production de ZOO/Thomas Hauert et DC&J Création en coproduction avec le Théâtre Les Tanneurs, Mercat de Les Flors, Barcelone (ES), Pavillon ADC, Genève (CH), l’Atelier de Paris/CDCN, Paris (FR), Charleroi danse, Centre Chorégraphique de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ICI – Centre chorégraphique national de Montpellier/Occitanie – direction Christian Rizzo, Montpellier (FR) et Residenzzentrum tanz+, Baden (CH)
Accueil studio Tictac art centre, Ultima Vez, Grand Studio, Studio Thor et Charleroi Danse
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Service de la danse, Pro Helvetia – Fondation CH pour les arts et Ein Kulturengagement des Lotterie-Fonds des Kantons Solothurn

Avec l’aide du Tax-shelter du gouvernement fédéral belge

ZOO/Thomas Hauert est artiste associé au Théâtre Les Tanneurs.

A dancing quartet to approach the mystery of negentropy: when the natural tendency of any system to disorganise is reversed. Gathering energy. Uplifting. Full of life. Thomas Hauert finds the motivation for a musical, organic choreographic writing.